A l’heure où la violence des mots déferle (entre autres) sur les réseaux sociaux et étouffe les débats, les deux auteurs tracent une analyse philosophique et historique du statut de la parole. Ils appellent à (re)prendre notre responsabilité individuelle et collective envers le seul vrai « super-pouvoir » des humains.
« Et si, saturés de mots, nous avions perdu le sens de la parole ? Et si nous étions devenus oublieux de ses pouvoirs de vie ou de mort, d’élaboration ou de destruction ? »